« Bonjour,
Je me rappelle comme si cela datait d’hier de mon premier jour au CIARA. C’était un samedi. A 9h. Rendez-vous était pris dans la grande salle, afin de rencontrer les camarades de session et le staff. Tout le monde était présent, si ma mémoire ne me fait pas défaut. Les formateurs étaient tous là. Tous, sauf Amine IDJER.
Nous avons écouté avec attention toutes les interventions et tous les discours. Cette première prise de contact m’a permis de me familiariser avec ceux avec qui j’allais partager, trois mois durant, beaucoup de choses.
Lors de cette prise de contact, beaucoup étaient intimidés, moi y compris. Intimidés par ces discours entendus, par les formateurs, et par nous-mêmes.
Plus les jours passaient, plus l’envie d’apprendre et de relever les défis grandissait. Chaque cours nous apportait un plus.
Monsieur Sahnouni nous a appris le maximum de grammaire et conjugaison. Toujours à l’écoute, il répétait sans se lasser telle règle ou tel mode ou tel temps. Les stagiaires voyaient en lui un second père.
Mme Ourzikène. Pendant ses cours, nous avons appris la rédaction professionnelle, et à exposer des situations professionnelles. Elle nous a mis à l’aise. Chaque stagiaire a discuté et débattu de sujets intéressants, même si parfois cela débordait un peu.
M. Khaled, grâce à son cours, l’informatique n’a plus de secret pour nous. Très simple dans ses explications, nous n’avons rencontré aucun problème à le suivre et à le comprendre.
M. Jean-Paul Grangaud nous a suivis dans la formulation de notre le projet professionnel, répondant à nos questions et atténuant nos angoisses. Avec Marie France Grangaud, l’économie d’entreprise est très captivante.
M. Amine Idjer, ou plutôt Amine - car il n’aime pas qu’on l’appelle Monsieur « Ca me vieillit » dit-il à qui veut l’entendre- Son cours d’expression orale : une récréation très instructive. Présent pour chacun de nous, c’est l’ami et le frère de tout le monde.
Quant à l’administration, citons M. Rivat, toujours un sourire pour l’un de nous ; Omar Ouadah, disponible et disposé à prodiguer des conseils, à remettre les pendules à l’heure quand il le faut ;. Mlle Fatma, si gentille, si serviable, si aimable. C’est l’intermédiaire entre nou,s les stagiaires, et l’administration. Ammi Rabah, toujours un mot gentil, un sourire, un conseil, c’est un ami, un frère, un confident.. Que ceux que j’ai oubliés de citer ne m’en veuillent pas : il y a tellement à dire sur le Ciara que toutes les pages d’un journal n’y suffiraient pas.
Mais il y a un mot qui peut tout résumer : Merci !