A l'occasion du "mois économique" organisé par le CIARA en Janvier 2010, avons interviewé Monsieur Jean Jacques Ballan, professeur en économie et créateur de jeux d’entreprise.


Comment avez-vous connu le CIARA ?

J’ai connu le CIARA en 2001 grâce à Yves Chamussy, animateur de l’association "Consultants du Monde" à laquelle j’appartiens. Lors de la création du CIARA, ce dernier avait réfléchi avec Joseph Rivat sur les réponses qu’il serait possible d’apporter à l’un des besoins importants en Algérie : la préparation des jeunes diplômés à l’entrée dans la vie active. Cette demande du CIARA correspondait aussi aux objectifs de l’association "Consultants du Monde" qui aide les organisations humanitaires à développer leurs activités.

Mon rôle actuel au CIARA consiste à accompagner l’insertion de jeunes diplômés par le biais d'un module d’initiation à la connaissance de l’entreprise qui dure une semaine.

Combien de fois êtes-vous intervenu au CIARA?

C’est la deuxième fois en un an pour mon plus grand plaisir.

Que pensez-vous des stagiaires du CIARA?

Ils sont extrêmement motivés, très attentifs et participatifs.

Pourquoi, à votre avis, sont–ils aussi intéressés ?

  1. les méthodes utilisées s’appuient sur des jeux d’entreprise et des exercices interactifs ce qui facilite la participation.
  2. Ils donnent le sentiment que ce qu’on leur apporte leur ouvre de nouvelles pistes de réflexion et les aide dans la construction de leur projet de vie.

A votre avis, quel seraient les axes d'un développement pour les activités du CIARA ?

La maintenance des équipements est sans aucun doute un élément fondamental du maintien de l’Algérie dans la course économique. Le rôle du CIARA pourrait s’élargir à d’autres disciplines que l’électronique, l’électrotechnique et à d’autres niveaux de formation, en accompagnant l’acquisition des métiers de maintenance industrielle.

Que diriez-vous à l’équipe du CIARA ?

Bravo ! Continuez. Nous serons -et je serai- toujours à vos côtés pour la réalisation d’autres projets.


(Propos recueillis à Alger par Leila Abdelmalek le 27/01/2010)